Des études réalisées chez l’humain et la souris par l’équipe du Dr Talbot, du Département de pharmacologie et physiologie, démontrent que les neurones nociceptifs associés aux tumeurs sécrètent différents composés (tel que le neuropeptide CGRP) qui réduisent l’activité des cellules du système immunitaire et bloquent ainsi la réponse antitumorale. Des collègues du Département de microbiologie, infectiologie et immunologie à l’U de M, mais également de l’Université McGill, du Brésil et d’autres institutions aux États-Unis ont contribué à cette étude publiée dans la revue Nature.
Bravo à toute l’équipe.