Quels risques et bénéfices pour les gens immunosupprimés ayant un animal de compagnie?

21 juillet 2020

Une étude est en cours auprès de personnes immunosupprimées pour mesurer le rapport entre les risques d’infection et les bénéfices associés à la possession d’un animal de compagnie.


Les médecins déconseillent généralement aux personnes ayant subi une greffe ou une transplantation de posséder un animal de compagnie : étant immunosupprimées en raison des médicaments antirejet, elles feraient face à un risque accru d’être atteintes d’une zoonose, c’est-à-dire d’une infection ou maladie transmise d’un animal à l’humain.

Mais quelle est l’ampleur de ce risque, selon chaque type d’animal de compagnie, et comment assurer l’équilibre entre les risques et les bienfaits associés à la possession d’un animal en cas d’immunosuppression… de surcroît en période de pandémie?

C’est ce que tente de découvrir une importante équipe multidisciplinaire de chercheurs de l’Université de Montréal et de patients-partenaires qui ont entamé, en avril, une étude inscrite dans un projet de recherche plus large intitulé « projet Laurent ».

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https://nouvelles.umontreal.ca/article/2020/07/20/quels-risques-et-benefices-pour-les-gens-immunosupprimes-ayant-un-animal-de-compagnie/?utm_source=Quotidienne&utm_campaign=f7afd90e1e-L%27Estivale-20200721&utm_medium=email&utm_term=0_8cea2058e0-f7afd90e1e-332371369