Le 4 février 2013
Dans le laboratoire du professeur Patrick Hallenbeck, il y a des éprouvettes, des microscopes et d’autres instruments de microbiologie traditionnelle en plus d’une collection de près de 150 souches de microalgues. On y trouve aussi, ici et là, des boulons, des écrous et des pièces qui ressemblent à de la ferraille. « Je fais de la science de garage », plaisante le chercheur, qui achète à prix modique du vieux matériel scientifique qu’il rafistole ensuite. Une façon de maximiser les fonds de recherche qu’il reçoit. La voiture de l’avenir pourrait rouler à l’éthanol produit par des microalgues du fleuve Saint-Laurent. Hérésie scientifique? Pas dans l’esprit de Patrick Hallenbeck, professeur au Département de microbiologie et immunologie de l’Université de Montréal.
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