Pour la deuxième fois en 1 semaine (!), l’équipe dirigée par Dr Nicolas Chomont, professeur sous octroi agrégé chez nous et chercheur au Centre de recherche du CHUM, fait la manchette. Cette fois, c’est pour la publication d’un article qui décrit la mise au point d’une méthode de cytométrie en flux permettant de détecter, au moyen d’anticorps, les cellules capables de produire des protéines virales du VIH dans le sang de personnes vivant avec le VIH, qu’elles soient traitées ou non. Non seulement les résultats de ce test sont-ils corrélés avec ceux obtenus avec d’autres méthodes établies servant à mesurer le réservoir cellulaire du VIH, mas ces expériences ont permis d’identifier certains marqueurs de surface qui sont fortement exprimés par les cellules infectées, dont l’intégrine α4b1. L’article est paru dans le dernier numéro de la prestigieuse revue PLoS Pathogens.
Lien vers l’article : https://journals.plos.org/plospathogens/article/file?id=10.1371/journal.ppat.1007619&type=printable
de gauche à droite : Dr Nicolas Chomont; Caroline Dufour, étudiante au doctorat; Marion Pardons, étudiante au doctorat; Dr Rémi Fromentin, associé de recherche; Amélie Pagliuzza, assistante de recherche; Dre Marta Massanella, post-doctorante.